Fiches informatives

Notre expertise

Le Docteur HONECKER prend en charge l’ensemble des pathologies de la main, du poignet et des nerfs périphériques, qu’elles soient d’origine traumatique, compressive, dégénérative ou congénitale.

Chirurgie de la main

Syndrome du canal carpien et autres compressions nerveuses (nerf ulnaire au coude, nerf radial, lacertus fibrosus…)
Maladie de Dupuytren
Doigt à ressaut
Kyste mucoïde
Rhizarthrose et arthrose des doigts
Fractures et luxations des doigts
Lésions des tendons, des poulies et affections inflammatoires
Tumeurs des doigts et de la main
Reconstruction microchirurgicale des plaies complexes

Chirurgie du poignet

Fractures du poignet, du scaphoïde et du reste du carpe
Lésions et instabilités ligamentaires
Tendinites (tendinite de De Quervain)
Kystes synoviaux
Arthrose du poignet

Notre cabinet s'engage depuis sa création dans une démarche humaine, tournée vers le patient et des traitements à la pointe de la recherches et littérature scientifique.

Pour chacun, nous cherchons le traitement le plus adapté et nous privilégions les solutions non chirurgicales ou mini-invasives lorsque cela est possible.

Avertissement

Les fiches et explications qui vous sont données sur les pathologies de la main et du poignet disponibles sur ce site internet sont un support complémentaire aux informations délivrées par votre chirurgien lors des consultations.

Celles-ci sont destinées à compléter les informations orales délivrées lors de la consultation et ne sont pas exhaustives.

Certaines complications sont particulièrement exceptionnelles et peuvent survenir dans un contexte spécifique. Il est important de comprendre que toutes les complications ne peuvent pas être précisées ici.

Au sujet du tabac

Les études scientifiques actuelles sont unanimes quant aux effets néfastes de la consommation de tabac avant et après une intervention chirurgicale. Ces effets sont nombreux et peuvent entraîner des complications chirurgicales graves.

La consommation de tabac :

Ralentit la cicatrisation cutanée, ce qui entraîne une cicatrisation de moins bonne qualité et un temps de cicatrisation prolongé.
Peut entrainer un retard ou absence de consolidation osseuse, augmentant ainsi le risque d’échec de la chirurgie osseuse.
Accroît le risque d’infection du site opératoire, en particulier sur les dispositifs médicaux implantés.